Canadien de 74 ans, il est placé en isolement depuis le 21 juillet dans une prison du Groenland dans des conditions particulièrement difficiles et risque une extradition au Japon.

Cette incarcération est survenue à la suite d’un mandat d’arrêt émis contre lui à la demande du Japon il y a douze ans, en raison d’activités anti-chasse à la baleine en Antarctique qui auraient causé des dommages sur un bateau nippon en 2010.

Malgré les preuves vidéo qui le disculpent, les juges ont une nouvelle fois statué début octobre sur son maintien en détention, au moins jusqu’au 23 octobre prochain.

La Ville de Triel estime que l'engagement de Paul Watson est légitime, contrairement à son emprisonnement, et demande la libération de cet homme qui a dédié sa vie à la protection des océans.

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